vendredi 3 janvier 2014

Votre manuscrit a été sélectionné



« Tous mes vœux de réussite ! »
« Je te souhaite le succès »
« Cette année sera celle de ta reconnaissance »

…j’en oublie… mais MERCI à vous tous, qui m’avez souhaité d’être publiée, ça a marché, je vais mettre une bouteille de champagne au frais pour chacun de vous !

En deux mots, j’avais envoyé le manuscrit d’un recueil de nouvelles à Edilivre, qui l’a retenu et m’a envoyé mon contrat de publication.
Ce recueil sera donc disponible dans quelque temps, au format papier et numérique, sur le site de l’éditeur et d’autres libraires en ligne. Bien sûr, je ne manquerai pas de vous faire savoir lesquels le moment venu (c’est que j’ai un jet privé en commande !) :)

En attendant la gloire, donc, je veux remercier sincèrement :

Marie-Marie, pour son soutien indéfectible, son enthousiasme inaltérable, ses commentaires chaleureux, ses apéritifs avec vue imprenable et son carburant indispensable en chocolat suisse.

Jean-Philippe, pour son aide infiniment précieuse, ses corrections pertinentes, ses exceptionnelles compétences orthographiques, grammaticales et pédagogiques et sa générosité.

Cédric, pour son soutien, sa gentillesse et la simplicité qu’il a conservée malgré sa propre ascension.

Blandine, d’abord pour son amitié, mais aussi pour ce moment magique, un matin où elle cassait des noix en entamant la lecture d’une de mes nouvelles, et où je l’ai vue, progressivement ralentir puis poser complètement le casse-noix, captivée par ce qu’elle lisait.

Chantal Martin, ma prof de français de 5e, la première à m’avoir dit que j’avais un « style agréable », elle l’écrivait sur toutes mes rédactions, j’y pense encore.

Et aussi, dans le désordre, Christian, Mathilde, Les Piles, Manue, Patricia, Alexandra, Alix, Isa, la Duchesse Anne, Annabelle, Corinne, Miss Lili, Sandrine, Cyprien, Vanessa, Pierrick, Adam, Bruno et tous ceux qui m’ont encouragée et ont cru que j’y arriverais. Je veux bien que vous continuiez, d’ailleurs, parce que j’ai parfaitement conscience que je viens juste de monter sur la toute première marche de ce long escalier qui m’évoque celui de Cirith Ungol !

L’aventure commence, donc, je veillerai à ce qu’elle reste une joie et un plaisir. Sinon, ce n’est pas la peine…

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